Dance & sing & laugh #Clémence#

Il était prêt de 22 heures lorsque Sonia entra aux chateau. Le parc était vide. Un soldat à l'entrée venait de laisser passer la comédienne, en la voyant passer. Elle lui fit un petit sourire, et se dirigea de suite vers l'opéra. elle aimait tellement ce chateau,, ce luxe,ne lui plaisiat guère, mais ces jardins, ces fleurs, ces fenêtres. Elle aimait également par dessus tout le silence de la nuit, avec pour seul bruit celui des fontaines qui coulaient dans le parc. pOur une fois qu'elle était en fonctionnement. Elle n'irait aps voirle roi il était bien trop tard, mais elle pensa tout de même à lui. A tout se qu'il avait fait pour sa famille, malgré sa classe sociale. Elel ouvrit les portes, et enleva la capuche de sa cape. Elel avaitune petite robe en tissus bleu. Elle déposa sa cape, sur u des fauteuils de la salle, et monta les trois escaliers pour arriver sur la scène. Elle était radieuse aujourd'hui. La journée n'avait pas était facile, mais elle voulait prendre du temps pour elle, après avoir dit bonne nuit à ses frères, et soeurs.
Elle entendit un bruit derrière elle et se retourna rapidemement, amis ne vit rien tout de suite.

Clémence entra dans l'opéra, elle vit une jeune femme, elle lui sourit.
Elle aussi elle n'est pas habitué aux fastes de Versailles, elle n'est pas au courant de son immence fortume ni de son titre.

Elle s'approcha de la jeune femme, Clém sentait la Vanille, ses cheveux étaient attaché en chignon quelques meches ressortait, elles étaient frissée.

-Bonjour Madame

Sonia fut surprise par la jeune femme. Lorsqu'elle l'aperçut enfin, elle vit une jeune femme radieuse. Elles aveint l'air de venir du même milieu se qui la rassura. Si elle avait croisé un noble aussi tard, il aurait put la prendre pour une voleuse, bien que beaucoup les déjà vu en compagnie du roi. Il se faisiat de moin en moin vori l'un à côté de l'autre. Depuis que ses enfants n'avait pas approuvé qu'une paysanne, qu'une pauvre fille du monde, parle au roi. Ce n'étais pas au point de sa maîtresse, mais quand même.

-Bonsoir, je pensais être seule. mais dîtes moi ils vous ont laissé rentrer! et dire que moi j'ai du mal, depuis le temps!

[Désolé je sais pas quoi dire!!]

Elle lui adresssa un sourire, elle était contente de ne pas voir un noble car elle les detesta.

-Je vous l'avoue c'était pas une idée de plaisir surtout que ces nobles vont nous faire mourir avec leurs impots.

Elle lui sourit

-Je me nomme Clémence je suis une artiste et vous?

-A qui le dites vous? Je me demandes si ça va pouvoir durer longtemps, cette histoire.

Elle ne pouvait défendre son "ami" dans cet mesure. Snia ne pouvais pas comprendre qu'il ne fasse rien. Les temps était bien dur contre les apuvres gens du peuple, mais selon lui, il n'y avait aps d'autre moins. Sonia voyait bein une solution, mais détéstait blesser son protecteur, et se taisait pour nepas perdre ses faveurs. après tout, il aidé de son mieux la famille Rodriguez.

-Je m'appelle Sonia, et je suis commédienne.

-A mon avis la France nous pourra pas continuer comme sa

elle la regarda

-Enchante Sonia

Elle lui sourit

-Que voulez qu'on fasse avec que ces Cerberes de nobles arrivent?

Hj: ceberes il me semble c'est le chien à 3 tete dans l'antiquité

HS: yes^^

-Je n'en ai pas la moindre idée. Mais ça ne pourra pas durer comme cela bien longtemps. Mais que voulez vous, nous ne sommes pas de taille face à ces cerbères comme vous les appelés. Nous ne sommes que de pauvre paysans.

Elle n'était pas du genre très optimiste.

-Oui mais on est nombreux trés nombreux et eux ils sont quoi quelques dizaine nous sommes les plus pauvres et eux ils s'enrichissent en nous faisant payer des impots trés chére. ce n'est pas l'égalité que nous revons mais l'injustice

-Oui c'est vrai. Mais à moins d'une nouvelle fronde, qui de toute façon sera matérapidment nous ne pouvons rien. ils nous tienne. comme vous l'avais dis, ils tiennent le capital du pays, et nous avec nos pioches nous allons changer le monde?

Mais peut -être que les mots ferait plus d'effets. Elle l'ignorais, mais il fallait agir.

La jeune femme voulait tout faire pour la France meme mourir pour eux.

-Alors nous attendrons et le jour ou on pourrons plus on taperas fort et peut étre vies changeronts le cours de l'histoire

- Je l'éspère.

Elle s'approcha de sa collègue en lui souriant davantage. Elle déscendit de la scène; pour être à sa hauteur.

Elle lui sourit

-Nous le verrons bien avez vous rencontrez la famille royale?

- Oui ça m'est arrivé en effet, maisje ne m'ensuis pas que des amis. Comme notre bon dauphin, louis, et ses soeurs. voyait vous je suis comme qui dirait apréciait par le roi. J'ai eu beau lui parler des ats de fois ne nos cas,il me rappele touours tout se qu'il à fait pour moi et am famille, et je n'oses aps lui faire part de mon mécontement. Je suis sur pouvoir aidé dpeusi ma place à ses côtés, mais j'ignore comment!

Elle répondit à son sourire.

-Je comprend il faudrait peut étre user de la chance mais comment faire sans payer de nos vies.

-Je n'en ai pas la moindre idée. C'est bien là le problème.

Elle s'asseilla sur le bord de la scène, tout en regardant ses pieds, qui se balançait dans le vide.

elle s'assoya car à force de rester debout on a des rhumathisme

Nous pourrions reflechir ensemble, avez vous un lieux pour qu'on parle librement car je crains qu'un ceberne ne rentre et nous entende

Elle avait trés peur pas pour elle meme mais aussi pour Sonia

-Nous pourrions aller chez moi, si vous le souhaitez. D'ailleurs j'y pense, mais nous pourrions nous vouviez, ne sommes nous pas différents de ses gens?

* Elle commença à sourire, et à lui montrer la route.*

-D'accord je ne suis pas contre mais je vous dérange pas?

Elle lui sourit

-Oui sa sera plus facile, oui c'est sur

-Bien sur que non, voyons; mais je vous préviens, j'a beaucoup de frères et soeurs.

* Elle se releva, et partit en direction de chez elle. Elle repassèrent apr les gardes, qui lui sourièrent naivement, comme si ils attendaient toujours quelque chose. Sonia avait de nouveau sa cape sur les épaules, et partit dans les ruelles du village de Versailles, avec sa capuche sur la tête. Elles arrivèrent enfint outesles deux chez la famille Rodriguez.*

~FIN~